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L’Allemagne, l’Italie et la Pologne ont été rejointes par la République tchèque, la Hongrie, la Roumanie et la Slovaquie lors d’une réunion pour s’opposer à la fin du « thermique » dans l’U.E. en 2035.

 

En refusant de valider la décision de la Commission et du parlement au Conseil début mars 2023, l’Allemagne a mis un bon coup de frein au « tout à l’électrique ». L’Italie avait dès le début été réticente envers cette décision, tout comme la Pologne.
Mais c’est bien l’Allemagne et son industrie automobile qui semble avoir eu le poids nécessaire pour peser sur le vote final au Conseil européen.

L’Allemagne, l’Italie, la Pologne, la République tchèque, la Hongrie, la Roumanie et la Slovaquie étaient représentées par leurs ministres des transports lors d’une réunion à Strasbourg sous la tutelle du ministre allemand Volker Wissing.

Ce dernier, membre du parti FDP, compte bien conserver le moteur à combustion interne après l’échéance de 2035. Un sauvetage de dernière minute, mal perçu par les défenseurs du texte européen et de la formalité traditionnelle du vote Conseil, qui est aussi un acte de politique interne. Une volte-face qui prouve toutefois que l’U.E. reste une démocratie avec les aléas propres aux garde-fous des pouvoirs législatifs et exécutifs.

Les opposants au texte initial souhaitent qu’une nouvelle catégorie soit ajoutée dans le texte européen car l’Allemagne et ses pays

partenaires croient en un moteur thermique qui soit vertueux. Dès lors, l’alliance de ces pays souhaite inclure dans la proposition que l’interdiction ne concernera pas les moteurs à combustion capables de fonctionner avec un carburant (synthétique) tels que l’e-fuel ou l’hydrogène.

Sans cet addendum il n’y aurait pas de vote au Conseil. Une position que l’Autriche et la Bulgarie approuvent également.

Il est à préciser que voir une majeure partie des pays d’Europe de l’Est parmi les opposants à la fin pure et dure du thermique en 2035 n’est pas étonnante compte tenu du peu d’infrastructure pour la voiture électrique sur leurs territoires.

Ces positions ont le mérite d’ouvrir la réflexion et permettront sans doute de se rendre compte que le « tout électrique » n’est pas la solution unique pour la réduction de l’empreinte carbone de nos déplacements. D’autant que le réseau et les infrastructures sont loin d’être prêtes et suffisamment dimensionnées n’en déplaise à nos politiques.

En Belgique, avant votre voyage, votre assisteur peut vous aider efficacement en vous fournissant des informations santé ou bien-être.

En cas de maladie ou d’accident survenant au cours d’un voyage, il peut également organiser les services à domicile pendant et après une période d’hospitalisation (aide aux tâches ménagères, garde d’enfants de moins de 16 ans, …).

A l’étranger, en plus d’une assistance médicale étendue, l’assistance famille propose le plus souvent, en complément des remboursements de la sécurité sociale, de garantir le remboursement des frais médicaux encourus à l’étranger, ainsi que de ceux encourus en Belgique, consécutifs aux soins couverts à l’étranger.

Selon vos couvertures, l’assisteur peut également :

  • avancer, dans certains cas, les frais d’hospitalisation
  • rembourser les frais de recherche et de sauvetage (sur une piste de ski, par exemple)
  • prendre en charge la visite d’un proche en cas d’hospitalisation prolongée
  • prendre en charge les autres assurés et particulièrement les enfants (rapatriement, accompagnement, …)
  • rapatrier le corps en cas de décès
  • organiser le retour anticipé en cas d’hospitalisation ou de décès d’un proche ou pour sinistre grave au domicile
  • en cas d’impossibilité de retour à la date prévue, intervenir dans les frais supplémentaires de transport de retour et dans les frais éventuels de prolongation du logement
  • envoyer des lunettes, prothèses ou médicaments sur place s’ils sont introuvables dans le pays de villégiature
  • envoyer sur place des titres de transport, de documents de voyage importants ou de bagages en cas de vol ou perte
  • prendre en charge le rapatriement du véhicule de l’assuré par un chauffeur de remplacement
  • porter assistance aux animaux domestiques

A quel moment faut-il souscrire une assistance voyage ?

L’assistance voyage doit évidemment être souscrite avant le voyage. Toutefois ses effets prendront déjà généralement cours le lendemain de la souscription. On peut donc souscrire un contrat d’assistance et protéger correctement sa famille jusqu’à la veille du départ en vacances.

Quelles sont les formules d’assurance voyage ?

Les contrats d’assistance voyages peuvent être temporaires ou annuels.

Ils peuvent vous offrir une garantie limitée dans le temps à un voyage bien spécifique ou vous couvrir pendant toute l’année, quel que soit le nombre ou la durée des voyages que vous effectuez.

Qui est assuré par votre contrat ?

La couverture assistance des contrats annuels peut être étendue à tous les membres d’un ménage vivant sous le même toit (et par extension les étudiants domiciliés à leur kot et les enfants domiciliés chez l’autre parent en cas de séparation). Le nom des personnes et l’immatriculation des véhicules assurés sont alors mentionnés dans votre contrat d’assurance. Vérifiez bien ces informations avant un départ en vacances.

Dans quels pays les garanties sont-elles applicables ?

En principe, la garantie vaut dans le monde entier, mais depuis peu la plupart des contrats couvrent l’Europe avec une extension payante pour le reste du monde.  Il est aussi possible que certains pays fassent l’objet d’une exclusion, en raison de risques géopolitiques : pays politiquement instables, en guerre ou risque d’attentat … Renseignez-vous auprès de nous avant votre départ.