Pour ses 60 ans, la société Dandrifosse – Detrembleur & Partners opère un tournant important de son histoire
en fusionnant ses activités avec la S.A. Hupperetz & Düsseldorf afin de devenir ensemble “DETREMBLEUR
& PARTNERS” : un nouveau pôle d’expertise banque/assurances en Haute-Amblève.

Béatrice Detrembleur, Dandrifosse – Detrembleur & Partners : « Par cette fusion avec la société Hupperetz & Düsseldorf, tout comme nous solidement ancrée dans le territoire local, nous consolidons nos acquis et nous nous tournons ensemble, sereinement, vers un
avenir où nos expertises vont encore se renforcer, au service de nos clients, qu’ils soient particuliers ou entreprises. Cette belle opportunité a été rendue possible grâce à nos clients, à nos équipes ainsi qu’au soutien et à la confiance de nos partenaires Crelan et compagnies d’assurances. »

Cette fusion est rapidement apparue comme évidente étant donné la complémentarité des deux structures en matière de services banque/assurances, le partage de valeurs communes et un fort attachement à l’ancrage local.

Geneviève Hupperetz, Hupperetz & Düsseldorf : « Il faut dire que notre société disposait elle aussi d’une importante activité banque/assurances depuis plus de 70 ans… Cette fusion intervient dans un contexte où nous cherchions à assurer la pérennité de nos activités, ce qui est à présent chose acquise. Je me réjouis de ce nouveau chapitre qui unit deux acteurs complémentaires et expérimentés. »

Autre élément important qui a conduit à cette fusion : Crelan, dans sa nouvelle stratégie de développement, cherchait un partenaire territorial fort, capable de déployer, rassembler et centraliser une offre de produits et services de proximité dans le pays de la Haute-Amblève jusqu’au nord de la province du Luxembourg.

Thierry Evrard, manager de secteur chez CRELAN : « Crelan poursuit le développement de son réseau, en partenariat avec nos différents agents dans la région. Dans ce cadre, nous avons décidé de construire un projet avec nos deux représentants principaux, à savoir les bureaux Hupperetz et Detrembleur. Ces structures disposaient de points d’exploitation bancaires dynamiques à Malmedy, Stavelot et Vielsalm. Dans un souci d’amélioration constante de nos services à la clientèle, nous avons souhaité renforcer encore notre ancrage local en nous appuyant sur l’expérience de deux acteurs incontournables dans leur bassin de vie pour élargir notre offre sur Malmedy. »

Vers un pôle de compétences unique dans la région

En pratique, cette fusion implique un regroupement des équipes des sites de Malmedy et de Stavelot vers la rue des Anciennes Granges à Malmedy (siège historique des activités de la société Hupperetz). Dès le 1er juillet prochain, ce nouveau pôle de compétences unique dans la région accueillera sous le même toit les activités de banque et de courtage en assurances spécialisées indépendants/entreprises/particuliers. Ce regroupement aura lieu en deux temps. Le bureau d’assurances quittera la place Albert 1er à Malmedy à la fin de ce mois de juin 2024.Dans cette stratégie de relocalisation des activités, il a aussi été décidé de fermer progressivement le bureau de Stavelot d’ici la fin de l’année 2024. L’agence locale intégrera le pôle malmédien qui proposera à 8 km des services plus complets, qui n’existaient pas jusqu’à présent. S’agissant de l’agence de Vielsalm, rien ne change. Elle continue de proposer l’ensemble des services bancaires déjà existants ainsi qu’une offre en assurances.

100% des emplois maintenus

Dans sa nouvelle organisation, DETREMBLEUR & PARTNERS occupera désormais 10 personnes pour la partie banque et 14 personnes pour la partie assurances. Tous les emplois étant ainsi conservés.
Béatrice Detrembleur : « Nous sommes heureux de former aujourd’hui un pôle d’excellence réunissant le meilleur de chaque collaborateur et ce, au service des clients présents et futurs pour lesquels nous allons plus que jamais continuer d’offrir davantage de services spécialisés. Nous sommes animés de valeurs fortes et partagées que sont la proximité avec nos clients, la disponibilité de nos équipes et une réelle expertise dans nos métiers. »

Pour DETREMBLEUR & PARTNERS, les associés :

Béatrice Detrembleur
Geneviève Hupperetz
Benjamin Georges
Nathaniel Nivette
Laurent Jonckheere
Pierre Jacquemain

En prévision des fortes chutes de pluie, voici un résumé des clauses de votre contrat d’assurance* habitation concernant les inondations et les dégâts d’eau. Ce guide vous aide à comprendre ce qui est couvert, à quoi être vigilant et comment réagir en cas de sinistre.

Ce qui est couvert par le contrat

Votre contrat d’assurance habitation couvre divers dégâts d’eau, y compris ceux causés par :

  • Les inondations.
  • Le débordement ou refoulement des égouts publics.
  • L’écoulement d’eau des installations hydrauliques et sanitaires (intérieures et extérieures).
  • L’infiltration d’eau par la toiture.
  • Les fuites accidentelles de mazout ou autres combustibles des installations de chauffage central.

Il couvre également les coûts liés :

  • À la recherche et réparation des canalisations à l’origine du sinistre.
  • À la perte d’eau, de mazout ou autre combustible liquide, jusqu’à concurrence de 4 500 EUR.

Ce à quoi il faut être vigilant

Certaines exclusions importantes à noter :

  • Les dégâts aux canalisations elles-mêmes, aux chaudières et réservoirs à l’origine du sinistre.
  • Les dégâts aux marchandises entreposées à moins de 10 cm du sol si le niveau d’eau n’a pas dépassé 10 cm (sauf pour les installations de chauffage et électriques fixées).
  • Les bâtiments ou parties de bâtiments construits dans des zones à risque après la classification officielle de la zone comme telle.
  • Les dégâts causés par des infiltrations d’eau souterraine ou un manque d’entretien des installations hydrauliques.

Ce qu’il faut faire en cas de sinistre

  1. Déclaration du sinistre : Informez-nous, votre courtier, immédiatement de tout sinistre, en fournissant des détails précis sur les circonstances, l’étendue des dégâts et l’identité des témoins.
  2. Rassemblement des preuves : Conservez et rassemblez toutes les pièces justificatives des dégâts et des biens endommagés. Prenez des photos et gardez les objets endommagés si possible.
  3. Coopération avec les experts : Accueillez les délégués ou experts pour évaluer les dégâts et faciliter leurs constatations.
  4. Prévention supplémentaire : Prenez toutes les mesures nécessaires pour limiter les conséquences du sinistre et éviter l’aggravation des dégâts.

Comment serez-vous indemnisés en cas de sinistre

  • Franchise : En cas de sinistre résultant d’une catastrophe naturelle, une franchise de 286,31 EUR s’applique, qui peut monter à 1 409 EUR en cas de tremblement de terre ou de glissement de terrain.
  • Indemnisation : Pour les bâtiments sinistrés, la compagnie d’assurance verse des indemnités selon l’avancement de la reconstruction, sur présentation de justificatifs. Si vous ne reconstruisez pas, vous serez indemnisé à hauteur de 80 % de la valeur à neuf, après déduction de la vétusté.

Enfin, il est crucial de bien entretenir vos installations hydrauliques et de chauffage, surtout en période de gel, pour garantir la validité de votre couverture en cas de sinistre.

Pour toute question ou déclaration de sinistre, contactez-nous rapidement pour une prise en charge efficace et optimale de votre situation.

Soyez préparé et restez en sécurité!

 

* les clauses utilisées pour cet article sont celles d’Axa – conditions générales « risques simples » 03.2023. Il est possible que certaines différences puissent exister dans les conditions générales des autres compagnies. Ce texte doit donc être considéré comme purement informatif et ne reflète aucun caractère impératif.

Mis à disposition de tous les Belges grâce à une collaboration étroite entre les trois Régions et l’Etat fédéral, mybike permet d’enregistrer son vélo et de l’identifier à l’aide d’un sticker unique gratuit. Ce dispositif est destiné à mieux lutter contre le vol de vélo et le recel.

Chaque année, près de 100 000 vélos sont volés en Belgique. Nombre d’entre eux sont retrouvés par la police, mais sans pouvoir retourner à leurs propriétaires, finissant oubliés dans des dépôts.
Grâce à mybike, les chances de retrouver son vélo sont plus grandes car la plateforme constitue un registre central accessible aux services de police et à la Justice.

Une procédure simple

1. Enregistrer votre vélo

mybike.belgium.be vous permet d’enregistrer gratuitement votre vélo neuf ou d’occasion. Vos données personnelles seront ainsi liées à votre vélo qui sera doté d’un numéro unique vous permettant d’y joindre des spécifications, des photos et les preuves d’achat.

En cas de vol, vous pouvez indiquer sur mybike le vélo comme étant volé, générer une fiche d’identification, et faire une déclaration à la police. Lorsque vous revendez votre vélo, vous pouvez également le transférer à un nouveau propriétaire sur la plateforme. Enfin, dans le cadre de la lutte contre le vol de vélos, nos partenaires pourront vous contacter si votre vélo est retrouvé.

2. Identifier votre vélo

Une fois votre vélo enregistré sur la plateforme, vous recevrez gratuitement un sticker unique par la poste. Il est important d’apposer le sticker sur votre vélo afin de l’identifier. Le sticker n’abîme pas le cadre de votre vélo, est résistant à l’arrachage, aux UV et aux intempéries. Le sticker est le moyen le plus simple d’identifier votre vélo et il permet surtout, avec un bon cadenas, de réduire drastiquement le risque de vol et de revente illégale.

En savoir plus : Enregistrer son vélo sur mybike et recevoir ou activer un sticker d’identification

Les villes et communes de Wallonie partenaires

Celles-ci sont invitées à organiser des distributions de stickers lors lors d’événements de promotion du vélo ou de prévention contre leur vol. Le tout en collaboration avec des services tels que la police, le service mobilité, ou des associations de promotion du vélo.

En savoir plus : Commander des boites de stickers mybike pour ma commune et organiser leur distribution

Lutter contre le vol, pour encore plus de cyclistes sur notre territoire

Selon les données du SPF Mobilité, la majorité des vols de vélo ont lieu dans le domaine public :

  • dans un parking vélo libre d’accès (41 %)
  • sur la voie publique en dehors d’un parking vélo (34 %)
  • au domicile (20 %)
  • dans des parkings vélos fermés (4 %)

Le vol de vélo demeure un frein à son utilisation. Il peut effectivement décourager des cyclistes ou cyclistes potentiels, en particulier les usagers les plus récents du deux-roues ou les moins fortunés.

source: wallonie.be

La Commission européenne a pris des mesures pour remodeler les règles du permis de conduire, anticipant ainsi les défis de la mobilité électrique. En mars 2023, l’UE a introduit une série de propositions qui s’attaquent directement à la sécurité routière et à l’adaptation nécessaire des infrastructures au passage aux véhicules électriques.

L’un des changements les plus significatifs concerne la révision à la hausse de la masse maximale autorisée (MMA) pour les véhicules relevant du permis de catégorie B. Cette initiative, qui semblait inévitable, vise à accommoder les spécificités des fourgons électriques, en particulier leur besoin en batteries volumineuses et lourdes qui impactent la capacité de charge utile. Jusqu’à présent, conduire un véhicule de plus de 3,5 tonnes nécessitait un permis de camion, une contrainte pour de nombreux conducteurs.

La nouvelle directive propose donc de porter cette limite à 4,25 tonnes, permettant ainsi de conduire des fourgons [électriques] plus lourds avec un permis B standard. Cette modification est cependant conditionnée à ce que la capacité de charge utile du véhicule en question ne dépasse pas celle de ses homologues à moteur à combustion.

Notons une curiosité réglementaire : cette limitation ne s’applique pas lorsque le véhicule est converti en camping-car ou en ambulance, où la même limite de 4,25 tonnes est maintenue même pour les modèles à essence ou diesel. Une bonne nouvelle pour les campingcaristes dont le poids des véhicules flirte souvent avec cette « ancienne » limite de 3,5 tonnes.

Cette réforme, bien que provisoirement adoptée, est en attente d’approbation définitive. La directive est sur le point d’être retardée jusqu’après les élections de juin, avec une finalisation espérée pour l’automne. Ce sera ensuite aux États membres de l’Union européenne de transposer ces nouvelles règles en législation nationale, un processus qui marquera un tournant décisif pour la mobilité européenne et l’adoption accrue des véhicules électriques.

En résumé:

  1. Proposition de réforme du permis de conduire : Initiation en mars 2023 par la Commission européenne pour s’adapter à la transition électrique des véhicules et améliorer la sécurité routière.
  2. Augmentation de la MMA pour permis de catégorie B : Élévation à 4,25 tonnes pour faciliter la conduite de fourgons électriques et camping-cars sans nécessiter un permis camion.
  3. Condition de la nouvelle MMA : La capacité de charge utile du véhicule électrique ne doit pas excéder celle des véhicules à moteur à combustion.
  4. Exceptions à la restriction : Les véhicules transformés en camping-cars ou ambulances ne sont pas soumis à cette restriction de capacité.
  5. Processus législatif : La directive est provisoirement adoptée, avec une attente de finalisation post-élections et mise en œuvre au niveau national à l’automne

19 millions d’euros: c’est ce montant que les Belges déclarent avoir perdu l’an dernier à cause d’escroqueries. Le SPF Economie a reçu des milliers de signalements pour des arnaques par téléphone ou sur le web: il lance un site internet pour mieux lutter contre la fraude.

Les arnaques sont devenues si nombreuses qu’elles font presque partie de notre quotidien. Elles sont devenues une habitude pour les citoyens: par téléphone, en ligne, , par mail ou sous forme de factures… toute la population y a déjà été confrontée.

L’an dernier, le SPF Economie a reçu 20.000 signalements pour des arnaques en tout genre. Les victimes auraient perdu 19 millions d’euros. µ

« Elles sont de mieux en mieux faites. On est aussi dans une ère de l’instantané où dès qu’on voit une offre qui peut paraître alléchante, on a une tendance à cliquer et à aller plus loin », estime Etienne Mignolet, porte-parole du SPF Economie.

Des arnaques parfois difficiles à détecter. Alors pour lutter contre ce fléau, le SPF Economie lance une nouvelle campagne. Et met en ligne un nouveau site internet: STOPARNAQUES.BE.

« Lorsqu’on est confronté à une offre qui peut paraître très alléchante de prime abord, il faut vraiment essayer de voir si on n’est pas face à une tentative d’arnaque. Notre message c’est vraiment: prenez le temps de la réflexion, prenez 10 secondes et essayez de voir ce qu’il se trouve derrière cette annonce pour essayer de dénicher l’arnaque », explique Etienne Mignolet.

Réfléchir avant d’agir est capital, car en cas d’arnaque, il est toujours difficile voire impossible de récupérer votre argent.

 

Dans notre société moderne, la digitalisation est en constante évolution. Les enfants ont un smartphone de plus en plus tôt et sont capables de travailler avec un ordinateur ou une tablette dès leur plus jeune âge, de sorte qu’ils sont souvent plus aptes à utiliser les nouvelles technologies que leurs parents. Il en va de même pour le compte à vue : l’argent liquide disparaît progressivement de notre société. De nos jours, nous pouvons payer presque partout avec une carte bancaire ou un smartphone, et ce n’est pas différent pour vos enfants.

C’est la raison pour laquelle l’ouverture de comptes à vue est également de plus en plus rapide. Vous hésitez encore à ouvrir un compte à vue pour votre enfant ? Dans cet article, vous découvrirez les avantages d’un compte jeune et des conseils utiles pour ouvrir un compte à vue.

Le compte jeune : pour qui ?

Un compte jeune est un compte à vue standard dont les frais de gestion sont gratuits jusqu’à l’âge de 25 ans. En Belgique, il est déjà possible d’ouvrir un compte à vue pour les enfants à partir de 10 ans.

Ce compte jeune peut être demandé aussi bien par les parents que par l’enfant auprès de  la banque de son choix. Votre fils ou votre fille est mineur ? Dans ce cas, la permission d’un parent est nécessaire. Les parents peuvent garder un œil sur la situation, car ils aident à gérer le compte de leur enfant.

Un compte à vue pour les enfants, comment ça marche ?

Cela peut sembler une idée effrayante de donner une carte bancaire à votre enfant, mais heureusement, il y a beaucoup de choses que vous pouvez contrôler. Par exemple, vous pouvez définir une limite maximale par jour et/ou semaine. De plus, vous pouvez toujours garder un œil sur les dépenses mensuelles en consultant les relevés de compte avec votre enfant.

De plus, un compte jeune présente de nombreux avantages supplémentaires :

  • Vous apprenez à votre enfant à gérer l’argent de façon responsable.
  • Donner de l’argent de poche devient encore plus facile
  • Vous apprenez à votre enfant à être plus autonome.

Avec un compte jeune, mon enfant peut-il tomber dans le rouge ?

Sur un compte à vue, votre enfant ne peut tout simplement pas descendre en dessous de zéro. Cela nécessite une demande spécifique d’ouverture de crédit sur le compte à vue, ce qui n’est pas possible pour les mineurs.

Avec un compte jeune, vous apprenez à votre enfant à gérer son argent de façon responsable. Convenez clairement avec votre enfant de l’usage qu’il peut en faire et fixez une limite de jour et/ou de semaine sur son compte.

Quelques conseils

Avant de donner à votre enfant son propre compte à vue, il est important de prendre quelques dispositions claires au préalable. De cette façon, vous gardez le contrôle, tout en donnant à votre enfant la liberté nécessaire.

  • Convenez clairement avec votre enfant de l’usage qu’il peut en faire.
  • Définissez une limite de jour et/ou de semaine sur le compte à vue.
  • Ensemble, déterminez le montant maximum qui peut être conservé sur le compte à vue. Et lorsqu’il est dépassé ? Déposez alors l’excédent sur son compte épargne. Cela apprendra aussi à votre enfant à épargner immédiatement.

Vous souhaitez ouvrir un compte jeune ?

L’ouverture d’un compte jeune est très simple. Vous souhaitez plus d’informations sur les différentes possibilités ? Nous vous accueillons volontiers dans nos bureaux.

C’est l’une des questions que vous nous posez le plus fréquemment: « votre véhicule prend de l’âge, est-il encore utile de conserver la garantie omnium ».
S’il n’existe pas de réponse simple pour cette question compliquée, voici quelques éléments qui vous permettront de savoir ce que couvre l’omnium et si c’est le bon moment pour vous en passer.

A l’exception de certains modèles, la plupart des voiture voient leur valeur diminuer au fil du temps et des kilomètres. Plutôt que de demander un montant plus élevé lorsque le véhicule est neuf et de diminuer la prime pour suivre l’amortissement de la valeur assurée, les assureurs lissent le montant de cette prime sur la durée de vie du contrat.
C’est donc la raison pour laquelle vous n’allez pas payer moins cher plus tard même si votre voiture vaut moins qu’à l’achat.

Il faut aussi penser que le déclassement – et donc le remboursement de la valeur assurée – n’est pas le sinistre le plus fréquent que nous rencontrons. Et qu’en cas de dommage partiel (par exemple remplacement du pare-chocs et du capot) le coût de la réparation sera identique que le véhicule ait 1 mois ou 5 ans.

Ces deux précisions étant apportées, revenons à notre question principale: quand faut-il résilier son omnium?

Le financement, critère numéro 1 à prendre en compte

Généralement l’organisme de crédit qui a financé votre véhicule va exiger qu’une omnium le couvre jusqu’au solde du prêt. Il est donc vivement conseillé de maintenir l’omnium tant que votre crédit n’est pas remboursé. A défaut vous devriez en cas de déclassement continuer à rembourser un véhicule détruit, en plus de vous retrouver à pied.

Une fois le crédit soldé d’autres questions sont à se poser. Quelle est la valeur de mon véhicule à un moment T? Est-ce que je suis en mesure d’assumer financièrement une réparation importante voire le remplacement de mon véhicule? Que représente la prime d’assurance (omnium) par rapport à la valeur résiduelle de mon véhicule?

Pour ces questions nous n’avons malheureusement pas de réponses car elles seront différentes pour chaque dossier. Mais une des pistes pour vous aider dans votre réflexion est que l’assurance omnium sert à couvrir le risque que vous ne pouvez – ou que vous ne voulez – assumer vous-même.

La plupart de nos clients abandonnent l’omnium lorsque leur voiture a 5 ans. Mais certains la conserveront jusqu’aux 10 ans de leur voiture quand d’autres ne la garderont que 2 ans.

L’omnium partielle, alternative utile et abordable?

Lorsqu’ils résilient leur grosse omnium la majorité de nos clients la remplacent par une omnium partielle (mini omnium). Celle-ci coûte environ un tiers du prix de la grosse omnium mais ne permet plus d’assurer vos propres dommages en cas d’accident (seul ou contre un tiers).

Par contre vous restez couverts sans franchise pour les dommages causés par l’incendie, le vol ou l’effraction, le bris de vitre, les collisions avec des animaux, les tempêtes, la grêle et autres forces de la nature.

Omnium Vs. Omnium partielle d’un point de vue budget

Jean a 40 ans, habite à Malmedy et souhaite assurer sa Skoda Octavia qui a 4 ans. Il hésite entre omnium et omnium partielle.

Maintenant que vous avez tout compris sur les différences de garanties, voyons ce que cela donne concrètement du point de vue du budget:

D’un côté une belle économie réalisée au niveau de la prime, de l’autre une meilleure maîtrise du risque puisque 535€ par an (44€/mois) vous permettent de couvrir environ 15.000€ soit la valeur résiduelle de la voiture.

Vous souhaitez poursuivre la réflexion? N’hésitez pas à nous contacter!

Le Groupe Crelan a participé au test de résistance (stress test) de 2023 de la BCE. La BCE a publié les résultats fin juillet.
Robin Janssen (Enterprise risk management & report) et Pieter Desmedt (Chief Risk Officer) les expliquent.

En quoi consistait exactement ce test de résistance ?

Robin: « Au cours de cet exercice, nous avons utilisé des données de fin 2022 comme point de départ, auxquelles la BCE applique un scénario de stress. Ce scénario suppose une inflation importante de manière persistante et prolongée, qui s’accompagne de taux d’intérêt élevés. En outre, les situations économiques se détériorent également, entraînant des pertes de crédit supplémentaires. La BCE le décrit le scénario de cette année comme le plus sévère de tous les exercices qu’elle a déjà réalisés. Bien qu’il y ait eu un exercice thématique sur le climat l’année dernière, l’exercice 2023 est plus large. »

Pieter: « Le groupe Crelan a participé à cet exercice au niveau consolidé pour la première fois. Plusieurs équipes de la banque ont travaillé ensemble pour mener à bien cet exercice. Il était nécessaire d’agréger les données des différentes entités Europabank, ABB et Crelan, ce qui a été fait avec succès. »

De quelle manière les résultats seront-ils rendus publics ?

Robin: « Les résultats se présentent sous la forme d’impacts sur notre capital et notre ratio de levier (voir ci-dessous). Ils prennent la forme d’un pourcentage que la banque perdrait dans un scénario de stress (qui est déterminé par la BCE). C’est très similaire à ce qui s’est passé en 2014/2016/2018 et en 2021.
Comme en 2021, les résultats individuels des banques sont rendus publics, classés sous forme de « buckets ». Pour vous donner un exemple, si nous perdons 5 % de capital en raison du scénario de stress, nous serons placés dans un « bucket » 0 %-6 %. »

Quel est notre résultat ?

Robin: « Nous obtenons des résultats solides dans cet exercice de test de résistance. Même après l’application de ce scénario de crise, la banque conserve un niveau de capital confortable (le ratio CET1 s’élève à plus de 15 %). Ceci est dû à la forte position de départ de la banque (la banque est bien capitalisée) et à la bonne qualité des prêts de la banque. Nous obtenons des résultats inférieurs à la moyenne pour le ratio de levier, ce qui est normal pour une banque d’épargne classique. »

Pieter: « Ces résultats montrent que la banque a une bonne solvabilité et qu’il y a suffisamment de réserves pour absorber les pertes. Nos performances sont bonnes par rapport à celles des banques européennes et nous pouvons dire que nous sommes dans le bon peloton. La moyenne CET1 des banques supervisées par la BCE est de 10,4 % après stress et Crelan dispose encore de plus de 15 % après stress. Je voudrais donc remercier tous ceux qui ont participé à cet exercice et également tous les collaborateurs qui travaillent ensemble, chaque jour, pour s’assurer que notre entreprise reste financièrement saine. Chacun y contribue à sa manière. Nous pouvons en être fiers.

 

Explication du ratio de levier et du ratio CET1 :

Le ratio de levier et le ratio CET1 sont des ratios qui donnent une indication de la solvabilité d’une banque.

Le ratio de levier est le rapport entre le total des actifs et les fonds propres.
Le ratio CET 1 est le rapport entre les actifs pondérés en fonction des risques et les fonds propres de base.

Étant donné que Crelan est solidement capitalisée et qu’elle n’investit que dans des actifs de haute qualité(et donc avec un faible degré de risque), elle affiche un très bon ratio CET1. Le ratio de levier ne tient pas compte de la qualité des actifs mais seulement de leur taille. Par conséquent ce ratio est légèrement inférieur à la moyenne du marché pour une banque d’épargne comme Crelan.

Lire tous les résultats dans le communiqué de la BCE ici.

https://www.bankingsupervision.europa.eu/press/pr/date/2023/html/ssm.pr230728~a10851714c.en.html

 

Depuis plusieurs années et surtout depuis l’arrivée des vélos à assistance électrique les vols de bicyclettes sont en constante augmentation. Face à l’absence de mesures concrètes des autorités pour endiguer ce phénomène certains assureurs ont dû prendre des décisions strictes pour limiter les indemnisations. Ce fut notamment le cas de la compagnie AEDES qui décidait en 2021 de ne plus couvrir à Bruxelles les vélos volés sur la voie publique, fussent-ils attachés à un obstacle fixe.

Tous les acteurs du secteurs attendaient une réponse du Gouvernement car des solutions existent et sont d’ailleurs souvent déjà appliquées chez nos voisins hollandais ou allemands pour freiner les velléités des voleurs.

En Belgique les cyclistes bruxellois peuvent déjà recevoir un autocollant doté d’un QR-Code unique. Ce dernier, collé sur le vélo, ne peut ensuite plus être enlevé. L’intérêt de ce dispositif ? Lorsqu’un vélo est acheté d’occasion, on peut rapidement vérifier si le vélo a été signalé comme volé.

Le ministre de la Mobilité, Georges Gilkinet (Ecolo), veut s’inspirer de ce système et l’étendre à l’ensemble de la Belgique. Avec la tant attendue création d’un registre des vélos volés qui aura le double intérêt de limiter (un peu?) les vols de vélos mais surtout de grandement faciliter la procédure de restitutions des vélos retrouvés.

Une première étape dans ce sens vient d’être franchie. Le gouvernement fédéral vient d’approuver un accord de coopération pour la création de ce registre des vélos. Les Régions vont également être impliquées pour mener à bien ce projet.

Espérons que ces mesures administratives seront accompagnées d’une vraie politique de protection du cycliste et de son équipement mais aussi de développement des infrastructures. Le minimum syndical pour pouvoir envisager le réel essor de la mobilité douce en remplacement des voitures. Et en attendant mieux vaut toujours prévoir une assurance vol pour couvrir votre vélo de valeur.

Le saviez-vous ?

• Le risque de cambriolage est aussi élevé l’après-midi qu’en deuxième partie de nuit. C’est pourquoi il est si important de toujours verrouiller correctement les fenêtres et les portes, même si vous ne vous absentez que pour une courte durée.

70 % des cambriolages ont lieu à l’arrière d’une maison. C’est pourquoi vous devez également équiper votre porte arrière d’une serrure, de préférence très visible, car elle a un effet dissuasif. Par ailleurs, il est recommandé de tailler vos haies avant de partir en voyage. Il sera ainsi plus facile pour les voisins de remarquer les éventuels visiteurs indésirables dans
votre jardin !

• Vous pouvez vous adresser à la police pour obtenir des conseils de prévention gratuits. Le conseiller en prévention se rendra à votre domicile et vous donnera des conseils non contraignants sur la manière de mieux sécuriser votre habitation.
Vous pouvez également informer la Police locale de vos dates de voyage et renseigner les personnes à contacter en cas de problème. Les patrouilles passeront devant votre domicile en votre absence pour vérifier que tout va bien.